lundi 1 avril 2013

Si c'était à refaire

J'ai commencé la lecture de ce livre aussitôt après celui de Stephen KING. Et voilà, pure coïncidence, que je me suis retrouvé, apparemment, avec une nouvelle histoire de retour dans le passé. Bon, en fait c'est un peu plus subtil que ça. LÉVY et KING ne jouent pas tout à fait dans la même cour. Et le voyage dans le temps proposé par LÉVY prend une tournure originale... dans les dernières pages du livre, dont je ne dévoilerai pas ici le contenu.
L'histoire est bien enlevée : nous sommes en juillet 2012. Andrew, journaliste au New York Times et qui vient d'écrire un article sur les exactions de la junte militaire argentine dans les années 70 (et plus particulièrement le vol de bébés), est poignardé en pleine rue. Lorsqu'il reprend connaissance, il est revenu 62 jours en arrière. C'est le temps qu'il a devant lui pour découvrir qui a voulu l'assassiner.
Un excellent bouquin.

Incipit :
Se fondre dans la foule, jouer ce drôle de drame sans que personne se rende compte de rien, se souvienne de quoi que ce soit.
Un jogging, tenue de circonstance pour passer inaperçu. Le long de River Park, à 7 heures du matin, tout le monde court. Dans une ville où le temps est minuté, où les nerfs de chacun sont mis à rude épreuve, on court ; on court pour entretenir son corps, effacer les excès de la veille, prévenir le stress de la journée à venir.

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